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assemblée nationale - Page 3

  • L’Assemblée nationale vote un budget en hausse (+3%) alloué à l’Immigration pour 2022 (1,90 milliard d’euros)

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre2021

    Les crédits de cette mission budgétaire immigration augmentent de 3% à 1,90 milliard d’euros pour 2022 (1,84 milliard en 2021).

    Les députés ont approuvé dans la nuit du mercredi 27 au jeudi 28 octobre le budget, en hausse, alloué à l’immigration pour 2022, dans un contexte de reprise des flux migratoires après le recul des demandes d’asile lié à la crise sanitaire. Les crédits de cette mission budgétaire immigration augmentent de 3% à 1,90 milliard d’euros pour 2022 (1,84 milliard en 2021). La ministre de la Citoyenneté Marlène Schiappa a défendu un «effort budgétaire important» visant à donner au gouvernement «les moyens d’agir plus et d’agir mieux».

    Les 58 millions d’euros supplémentaires vont notamment permettre de créer 1.500 places dans des centres d’accueil et d’examen des situations (Caes), ainsi que 3.400 places de centres d’accueil des demandeurs d’asile (Cada) au premier semestre «si l’évolution des dépenses d’allocation aux demandeurs d’asile (ADA), dont le niveau demeure soumis à des aléas, n’excède pas les prévisions», selon le projet de loi.

    (…)

    Le Figaro via fdesouche

  • Algérie : accusant l’Assemblée nationale française de faire une «guerre par procuration», des parlementaires ont relancé le projet de loi criminalisant le colonialisme

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2021

    Les tensions entre la France et l’Algérie peinent à s’apaiser, près d’un mois après l’éclatement de la crise entre les deux pays, alors qu’à Alger, des parlementaires veulent déterrer le projet de loi criminalisant le colonialisme. Ils se sont saisis de la question et ont condamné, lundi 25 octobre, la « guerre par procuration» de l’Assemblée nationale française qu’ils ont accusée de se mêler dans les affaires intérieures de l’Algérie.

    Les conférenciers ont abordé la question de la criminalisation du colonialisme et la possibilité de relancer le projet de loi de 2010 qui a été bloqué par le gouvernement de l’époque, après avoir suscité de fortes polémiques en Algérie et en France.

    Cette possibilité est saluée par le sénateur du FLN, Abdelouhab Benzaim, qui estime, dans une déclaration à TSA, que la criminalisation du colonialisme français « est aujourd’hui un droit naturel » pour l’Algérie.

    « Notre pays est tout à fait dans son droit de criminaliser le colonialisme français qui a duré 132 ans. Les Français ont commis en Algérie des actes criminels qui ont fait des millions de victimes et ont procédé à des essais nucléaires (dans le sud du pays), sans parler de l’exploitation de leur des ressources naturelles de l’Algérie », rappelle le parlementaire qui aborde la question des mécanismes et les démarches à suivre devant mener à cette criminalisation. […]

    Benzaim estime qu’avec cette loi, l’Algérie veut exiger de la France de reconnaître ses crimes durant la colonisation (1830-1962). «On peut aller même jusqu’à (exiger) l’indemnisation», ajoute Abdelouhab Benzaim. […]

    TSA via fdesouche

  • Le « Oui » de l’Assemblée Nationale aux folies de la loi bio-éthique

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2021

    D’éthique, la nouvelle loi bio-éthique votée hier, mardi 30 juin, à l’Assemblée Nationale n’a que le nom !

    En fin d’après-midi, les députés français ont définitivement approuvé à 326 voix, contre 115 et 42 abstentions, le projet de loi de bioéthique et sa mesure phare, l’ouverture de la PMA aux duos de femmes inverties et aux femmes célibataires. Le secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, Adrien Taquet, a raison de parler d’« un moment d’histoire », avec ce texte la France bascule dans la non-civilisation de la non-filiation et dans la déconstruction légalisée de l’identité. La France sous l’ère Macron bascule en « ce moment d’histoire » dans la barbarie de l’idéologie du genre.  

    Le texte étend donc la PMA aux couples lesbiens et aux femmes célibataires, mais aussi la recherche sur les cellules souches embryonnaires et la production d’embryons chimères. Avant l’adoption de cette loi, « seuls » les couples hétérosexuels (mariés, en union civile ou en concubinage) ayant des problèmes de fertilité constatés par un médecin ou ceux dont l’un des membres du couple était porteur d’une maladie grave qui pourrait être transmise à leur bébé pouvaient utiliser la PMA. Les femmes lesbiennes et célibataires, jusqu’à 43 ans, pourront désormais effectuer une PMA en France, avec les mêmes droits que les couples hétérosexuels. Chaque patiente devra avoir plusieurs entretiens avec un médecin ou une équipe médicale spécialisée en fertilité et, après un délai de réflexion d’un à deux mois, elle devra confirmer sa demande par écrit au médecin. Quatre tentatives de FIV et six inséminations artificielles sont intégralement remboursées par la Sécurité sociale (l’insémination artificielle coûte en moyenne 950 euros, tandis qu’une tentative de fécondation in vitro entre 3 000 et 4 000 euros). Si les deux membres du couple ont un problème d’infertilité, ou s’il existe un risque de maladie génétique pour l’enfant, ou dans le cas d’un couple lesbien stérile ou d’une femme célibataire, le transfert d’embryon peut être utilisé après décision d’un juge. Il s’agit essentiellement d’un feu vert pour la maternité de substitution.

    En plus de la PMA pour les femmes célibataires et lesbiennes, un autre changement majeur dans la loi de bioéthique concerne la suppression de l’anonymat pour les donneurs de sperme et d’ovules. L’article 3 donne à toute personne conçue par procréation médicalement assistée avec un tiers donneur le droit d’avoir accès à l’identité de ce donneur lorsqu’elle atteint l’âge de la majorité, mais en aucun cas une filiation ne peut être établie avec le donneur. L’enfant sera légalement orphelin de père pour toujours. Mais pas seulement ! Cela implique que les donneuses de gamètes devront désormais accepter que leur identité soit un jour révélée au bébé et se prononcer en faveur de l’auto-conservation des gamètes pour les futures grossesses. Quant à la parentalité des couples lesbiens, pour la femme qui a accouché, sa filiation sera établie dans l’acte de naissance ; pour sa partenaire, la relation familiale sera formalisée par une reconnaissance conjointe devant notaire. Dans l’acte de naissance complet de l’enfant, il sera donc écrit que « les deux mères ont reconnu l’enfant à cette date devant notaire ».

    La recherche sur l’embryon humain, y compris la production de chimères, peut désormais se faire jusqu’à 14 jours, contre les 7 jours précédents. Les protocoles de recherche menés sur les cellules souches embryonnaires feront l’objet d’un simple accusé de réception par l’Agence de la Biomédecine avant leur mise en œuvre (et non d’une autorisation). Sous prétexte de renouveler le régime juridique, la loi libéralise la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines, la création de gamètes artificiels, les copies d’embryons humains (articles 14 et 15), les embryons chimériques, les embryons transgéniques (article 17).

    Ce vote a eu lieu après plusieurs allers-retours entre l’Assemblée et le Sénat qui avait rejeté le texte en juin, après quatre ans à compter du dépôt du projet de loi par le Gouvernement le 24 juillet 2017. Les textes d’application de la loi ont déjà été préparés pour que « les premiers enfants puissent être conçus avant la fin 2021 », a indiqué le ministre de la Santé Olivier Véran, qui a salué dans les heures précédant le vote final « un texte mesuré qui correspond aux attentes de la société française ».

    Dans un communiqué, la Fondation Lejeune qui s’est battue contre cet projet de loi a précisé : « avec cette loi tout devient désormais possible », tout ce qu’il y a de plus insensé et de plus anti-naturel, anti-humain. Il n’y a plus de limite au pire, à la GPA, à l’utérus artificiel et autres folies des apprentis-sorciers qui se prennent pour Dieu.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • En pleine nuit, l’assemblée adopte le projet de loi bioéthique, avec 84 voix

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2021

    En pleine nuit, l’assemblée adopte le projet de loi bioéthique, avec 84 voix

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    Il était environ 1h30 cette nuit lorsque, après un simulacre de débat, le projet de loi bioéthique a été mis au vote. Le détail des votes est accessible ici.

    A noter que les députés ont voté par 74 voix contre (40 pour) l’intégration dans l’IMG d’une cause de détresse psycho-sociale.

    Par groupe :

    Toutefois, le parcours législatif n’est pas terminé : une nouvelle lecture va suivre au Sénat à partir du 24 juin, puis retour à l’Assemblée nationale le 29 juin, et enfin saisine du Conseil constitutionnel.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’Assemblée nationale préfère le bracelet électronique à la détention provisoire

    Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2021

    L’Assemblée nationale préfère le bracelet électronique à la détention provisoire

    L’Assemblée nationale à majorité LREM vient de voter un article limitant le recours à la détention provisoire tout en favorisant le recours à l’assignation à résidence sous bracelet électronique. Le lendemain de la manifestation des policiers…devant l’assemblée nationale ! Manifestation où Gérald Darmanin ministre de cette même majorité était présent ! Une bonne manière de montrer que le gouvernement et la majorité LREM se contrefout des policiers :

     

    Hypocrisie et foutage de gueule ! Pour mémoire, un des assassins islamiste du père Hammel portait un bracelet électronique suite à sa sortie de détention provisoire :

    Alors qu’il célèbrait la messe, le Père Jacques Hamel est mort mardi des mains d’Adel Kermiche, 19 ans qui avait tenté deux fois de se rendre en Syrie en 2015. Le terroriste avait été mis en examen et placé en détention provisoire, avant d’être libéré sous bracelet électronique.

     

    Source : lesalonbeige